samedi 29 janvier 2011

Take Me Somewhere Nice





Kumusta a vous ! Merci encore pour les quelques qui osent encore commenter par ici. Je fais appel a vos doigts pour etre plus productifs la dessus. Allez jeter un oeil a l'album photo (+600), il y a quelques nouveaux truc par la depuis quelques jours.

Mon arrivee a Manille (17 decembre) suit, comme je l'ai dis precedemment, une nuit blanche. Arrivee, par Air Asia, a l'aeroport de Clark, quelques 150 km au Nord de la capitale. Je me demerde pour trouver un bus qui pourra m'amener proche du "centre-ville" de Manille, dans le district nomme Makati City. Je dois y retrouver mon pote Matthieu, vieux compagnon de voyage rencontre il y a plus de trois ans a Montreal, et qui se trouve etre un des fameux "Driving Dummies", presents lors de mon road-trip sur la cote Est americaine en 2008.



Apres avoir traversee la campagne de l'ile de Luzon, ou les volcans sortent de nulle part, me voila dans les environs de la capitale. Manille est une aire urbaine gigantesque de 15 millions d'habitants qui s'entassent sur une etendue de beton que je n'avais je pense encore jamais vue auparavant. Bienvenue aux Philippines, le pays le plus pauvre d'Asie du Sud-Est, probablement le moins sur du coin et celui ou la misere (surtout en zone urbaine manillaise) est la plus criante et choquante.

Une heure de car et une discussion avec le chauffeur filipino me mene a etre largue au milieu d'une concrete jungle improbable. Il paraitrait que c'est plus simple pour moi. Oui mais me voila avec moi meme, un vendredi soir ou le trafic manillais est horrible, a ne pas savoir ou je suis. Je fais signe au flic le plus proche qui tente de reguler ce merdier circulatoire. Il me dit de prendre un tacos, mais a cette heure la, ils sont tous pleins. Alors je finis par trouver un bus de ville et, arrivant a me faire comprendre puisque tous les Filipinos parlent anglais (ancien protectorat americain), l'adresse de Matthieu dans la poche, je me rapproche tout doucement de mon but. Je me fais encore larguer dans un endroit inconnu. M'adressant aux locaux que je crois dans la rue, je cherche la fameuse Yague Street, et on me dit de prendre finalement un jeepney pour finir ce trajet.

San Miguel, biere locale Philippine


Alors un jeepney, c'est un transport philippin tout a fait typique. Lorsque les americains ont reconquis l'archipel des griffes nippones et ont gagne la guerre 39-45, ils ont laisse un paquet de Jeep Willis militaires, que les Filipinos n'ont pas tarde a recuperer et a modifier pour les transformer en genre de mini-bus et en faire des transports en commun. Depuis, l'utilisation de ces engins ultra-inconfortables mais o-combien robustes s'est generalise dans tout le pays et est rentre dans l'usage courant de tout et chacun ! Pour comprendre le systeme des jeepney a Manille, je vous souhaite cependant bon courage. Moi je n'ai rien capte...Mais en posant les bonnes questions au bon moment, il est tout a fait possible de s'en sortir, la preuve : je suis vivant.

Busuanga @ dusk.


Je retrouve donc, sans trop de galeres finalement, mon pote Matthieu, qui bosse. Il est volontaire dans une ONG francaise qui s'appelle Virlanie et qui travaille notamment a receuillir les enfants des rues de Manille. Et il y a du boulot. Et le boulot est tres, tres rude. Je ne serais pas capable d'endurer la vue de tout ce que ces volontaires peuvent voir comme horreurs avec ces gosses de moins de 10 ans, qui se violent entre eux, mangent dans les ordures, n'ont jamais eu de parents, j'en passe....aussi je tire mon chapeau a ces groupes de jeunes qui vont la-bas pour tremper les mains dans le cambouis...et par extension a tous ceux qui ont les tripes de faire de l'humanitaire dans des endroits si sombres, en sachant parfois y extraire des petits moments de lumieres et de bonheur. "Big up" a eux.

Le temps de se poser dans une des maisons de volontaires, en plein dans le quartiers des enfants paumes, une gorsse sieste (nuit blanche oblige) permettant de se faire devorer par l'armee de moustiques ultra-agressifs qui trainent, une grosse discussion en regle avec le Matthieu, depuis le temps...



Les maisons de volontaires, super sympa, sont des collocations remplies de francais qui bossent et vivent ensemble. Vu l'insecurite et le risque eleve de cambriolage en regle dans ces coins de Manille, toute les maisons sont de veritables forteresses, aux enceintes couvertes de barbeles et aux portes a triple verou ! Quand il ne sont pas sur du taf administratif de bureau, les volontaires bossent dans une prison pour enfants (oui, vous avez bien lu) ou les gamins des rues, ramasses le soir apres le couvre feu, sont entasses en cellule commune, et vivent litteralement dans la merde.

Le soir venu, apres la sieste et apres l'apero qui a suivi, on se rend avec le Matt, a l'aeroport de Manille, ou doit arriver la joly Malie (ou jolie Maly c'est au choix), venue de Hong Kong. J'aurais, mais surtout elle aura, l'honneur de m'accompagner pendant ce trip Philippin, seulement moi (et elle du coup).... 
Bref, vous m'avez compris ! Maly je la connais depuis un petit moment, puisque c'est (a ce moment precis) une fiere pote de promo de l'INSA de Rouen. Maintenant qu'elle est devenue une business woman a temps plein en expatriation a HK, elle ne peut pas se permettre le meme genre de trip que moi alors nous allons limiter l'experience a une petite dizaine de jours. Je vais donc la laisser gerer le choix des destinations et du temps a y passer, puisque moi, hein, j'ai le temps et je suis un gars ouvert a toute proposition.



Le lendemain, rebelotte a l'aeroport manillais, toujours a l'arrache et en sprintant comme des sagouins. Maly et moi prenons l'avion (via PAL Express) direction l'ile de Busuanga, petite ile au Nord de sa tres grande soeur Palawan, situees au Sud-Ouest de l'archipel philippins, a une petite heure de vol environ de Manille. La gueule de l'aeroport principal de Busuanga donne de suite le ton : on sait qu'on est sur une petite ile. Tant mieux ! On negocie un peu le transport jusqu'a la principale agglomeration, Coron Town au Sud, a environ 30 minutes de brousse a travers cette ile qui semble magnifique.
Dans sa grande preparation de voyage, Maly avait reserve dans des petits cottages une chambre pour deux. "Que nenni", je lui sort. "On va trouver un truc en arrivant la-bas".

Alors pour info, Coron Town est une petite ville dont l'activite principale se concentre sur le port, d'ou partent les differentes "bangka", ces bateaux a balanciers dedies a la peche, a la plongee ou le "island hopping" (activite touristique visant a sauter d'ile en ile dans la journee avec un bateau mene par des cuyas filipinos). N'esperez pas trouver de plages magnifiques sur Busuanga : il y en a peu ou pas. Par contre vous pouvez vous tenter les sources chaudes ou encore monter sur la colline qui se trouve au dessus de la ville et d'ou l'on devrait pouvoir avoir une sacree vue sur la baie Apres avoir trouve un petit hotel sympa sur le port, le L&MP Guesthouse, bien plus accueillant que l'usine d'a cote (SeaDivers, qui comme son nom l'indique est aussi un gros centre de plongee), nous louons une becane et allons trouver une petite plage a 45 minutes de la pour faire trempette un peu. Je n'avais pas mis les pieds dans l'eau depuis Koh Phangan en Thailande, vous imaginez le bonheur que de me retrouver a nouveau dans une flotte a 29 degres.

Vue de la piaule, L&MP, Coron Town


Nous faisons connaissance avec le patron de L&MP, Williams, un sino-americain de 60 ans, tres sympa, accueillant, chaleureux, plein d'entrein et de ressources, et un pur cuisinier en prime. Il nous branche avec un centre de plongee local, dirige par un instructeur suedois dont la copine vit dans l'hotel. Le but pour Maly etant de passer son premier degre de plongee, le but pour moi etant d'assoir un peu plus mon experience des plongees sur epaves et a "bonne profondeur".
Car la plongee sur Coron est avant tout reputee pour ses nombreuses epaves, vestiges de navires militaires de support japonais, coules en 1945 par l'aeronavale americaine. Il y en a 15 dans les environs, pour a peu pres tous les niveaux. La meilleure plongee sur epave du coin, le navire Irako, etant situee dans la zone des 30-45 metres de profondeur, est plutot difficile et reservee a des plongeurs experimentes. Ce qui pour le coup l'a pas mal preservee des pillages divers que les Philippins ont pu operer sur les autres depuis les annees 70.



Du a un emploi du temps charge, Kris, le fameux plongeur suedois/beau gosse/semi-celibataire/la trentaine bien passee, ne peut nous faire plonger que le sur-lendemain. La journee du lendemain serait donc libre de toute activite pour Maly et moi. On a donc profite pour larver serieusement, et se mettre a faire du island-hopping avec notre nouveau capitaine rencontre sur le port : June.






Au programme : plages et lagons sur Coron Island, juste en face de Coron Town. Alors, premiere surprise, c'est pas cher certes mais cela reste payant, et le bon June avait bien oublie de nous le dire. En effet quels que soient les petites iles ou les plages ou les lagons ou les grottes ou les trous de balles auxquels vous irez, ils ont tous -ou presque- ete restitues aux tribus locales par le gouvernement et sont desormais prives. Donc a chaque fois vous verrez une petite paillote ou une famille de gens vieux (tout le monde est vieux) vous regarde passer tout en continuant son train-train, et attendra le paiement de la dime quand vous repartirez.



Par contre, vous allez vous en prendre plein la vue. Les Twin Lagoons, et leurs eaux chaudes jaillissant des prodondeurs sont a faire absolument ! Dans un style tout a fait different, ces alentours de Coron n'ont absolument rien a envier aux plus belles iles du Sud de la Thailande. C'est a couper le souffle. Et, a la difference de la Thailande, les touristes sont relativement peu nombreux et les endroits restent, pour la plupart, completement sauvages et deserts. Un bonheur pur et dur. La journee nous a paru courte, mais on s'est regale.

Coron Island


Premier vrai contact avec les autochtones. Ils sont toujours tres types "Asie Sud-Est" (soit austroasiatiques, soit australonesiens pour les barres d'ethnologie), d'ailleurs Maly est prise pour une filipina les trois-quarts du temps. Ils sont chretiens (car les Philippines sont une ancienne colonie espagnole), parlent le tagalog qui a justement des similitude avec le parler de leur anciens colonisateurs (sans oublier qu'il existe 15 000 dialectes different dans le pays). Beaucoup, beaucoup d'enfants. Leur jeu principal ? Lancer des petards partout et tout le temps. C'est assez flippant parfois, genant au debut, puis apres on y porte plus trop d'attention (jusqu'a ce qu'un mioche en balance un gros a deux metres de vous).

Twin Lagoons

D'autant plus que nous sommes ici en periode de Noel, fete que les Philippins preparent depuis le mois de Septembre.
Tout le monde dans la rue va vous lancer un "Merry Christmas" (ah oui j'oubliais, ils parlent et comprenent tous l'anglais, car les americains sont restes dans le coin un moment), des enfants aux adultes. Malgre le soleil et la chaleur qui rendent la chose irreelle, le soir venu les gens chantent des chansons de Noel dans les rues, les gamins se baladent a moitie a poil avec des instruments de fortune faits de boites de conserve, et chantent 'Feliz Navidad' de partout. Ce sont des moments privilegies, au milieu de la population locale et de ses festivites de Noel, sur une ile du bout du monde, qui me resteront graves dans le coeur. J'ai adore.



L'autre truc marrant a signaler a propos des locaux, et que le sport national filipino est le karaoke. C'est une institution, un moment priviligie pour se retrouver, auquel absolument tout le monde aux Philippines participe. Ca chante souvent si mal que ca decolle presque les peintures des murs, mais personne ne se moque de personne et chacun supporte (si tant est qu'ils aient l'oreille pour entendre), reste assis et ecoute sans sourciller. C'est pris tres au serieux.
Le repertoire de chansons en contient des locales ou occidentales. On reste neanmoins dans le slow demode, la chanson triste vieillie, et dans des trucs has-been a l'occidentale (Celine Dion est particulierement reprise et appreciee pour ses chansons d'amour melancoliques et mievres). Une fois passee la surprise au niveau de la justesse du chant (qui m'a fait mourir de rire, mais pas autant que le concert de reggae foireux de Koh Lanta avec Lee et Jen), l'ecoute est deprimante (mais cet aspect reste drole).


Coron, port.


Le lendemain est consacre a la plongee. Maly se retrouve donc avec Kris en binome pour sa formation, et je me retrouve avec Lola, une guide francaise de plongee, saisonniere, qui bosse a Shanghai le reste de l'annee (et qui a une voix incroyable au chant). Ils avaient tellement envie de faire rentrer la pepette que Kris et Lola s'etaient enchaine 3 semaines non-stop avec 3 ou 4 plongees par jour (ce qui commencait a peser sur serieusement l'organisme, surplus d'azote sanguin aidant). Tout cela est devenu tellement bordelique que je me suis meme retrouve a plonger seul, ou alors en tant que guide avec un seul partenaire d'un certificat plus faible.
Ce partenaire, et c'est une rencontre de voyage comme on les aime, est un mec d'environ 25 balais dont nous ne pouvions retenir le nom, mais juste la sonorite. Par simplification et analogie, il nous etait connu sous le nom pompeux de "Bongo".
Bongo est un tres bon plongeur (qui faisaient la formation pour atteindre le meme niveau que moi) venu de turquie, mais qui (parlant mandarin) bosse en Chine. Il est sympatique, cheveux longs boucles noirs, poilu, souriant, parle fort et tout le temps.  Une gueule si grande qu'on l'aurait pris pour un rital, mais toujours super gentil. C'etait un bon partenaire, mais probablement jamais ne serait-il devenu mon pote ! Retenez bien ce nom : "Bongo".

Deux plongees, puis trois plongees le lendemain.
La deuxieme journee de plongee (21 decembre) fut tout a fait exceptionnelle. Outre le fait que Maly torchait aisement sa formation de plongee, au point d'en impressionner le moniteur (qui l'a donc emmene sur des plongees plus complexes) [il faut dire qu'elle a eu un bon formateur theorique nldr], j'ai realise la fameuse plongee sur l'Irako.

Plongeurs !


Avec Kris qui, cette fois, au vu de la plongee plutot tendue (descente a 45m dans une epave, visibilite reduite avec risque d'ivresse des profondeur), ne deconnait plus trop. Lui, Bongo et moi pour l'epave de la mort qui tue. 42 minutes a 45metres (l'air se consomme plus vite en profondeur). Bonne, tres bonne plongee dans un bateau de 147m intact, auquel les bombes ont laisse des trou sur le pont. Memorable.

Enfin, l'autre plongee memorable de la journee fut celle du Barracuda Lake. C'est un lac d'eau sale situe a l'interieur d'une ile, il faut donc grimper un peu les parois de roche au travers desquelles un pauvre escalier de bois se faufile dans une faille, avant de redescendre de l'autre cote. Avec tout le barda de plongee sur le dos, c'est assez sportif ! La particularite de Barracuda Lake est son thermocline impressionant, puisque lorsque vous descendez en dessous des 10 metres, l'eau passe de 25 a 40 degre d'un seul coup (volcanisme). Quelle sensation bonnarde !! Meme pas besoin de combinaison ! La difference de temperature est d'ailleurs visible a l'oeil nu (enfin, avec un masque quand meme!) entre deux couches de flotte. C'est une plongee tout a fait sympa pour cet aspect mais en revanche il n'y a aucune faune ou flore a apercevoir (il y aurait cependant un baracuda qui traine mais qui du coup doit crever la dalle), du a la temperature tres elevee. On peut par contre tenter de s'enfoncer completement dans l'epaisse couche de vase qui recouvre le fond (25m).

Bongo


La plongee creve, la plupart de nos soiree se sont limitees a du calme (juste trouble par les petards et les tromblons chantant du karaoke). Tous les gens rencontres etaient aussi des couples, et a par Bongo (avec qui on avait deja plonger deux jours) les rencontres furent peu nombeuses. Kris et Lola, bien que sympa, on ne les a pas revu. Il faut dire que Kris commencait un peu a nous les brouter avec son lunatisme, tout beau gosse/trentaine/semi-celibataire etc.
Avec toute cette histoire de plongees, Maly et moi preparions deja tranquillement le depart de Coron vers la prochain destination : El Nido, situe a l'extremite Nord de l'ile principale de Palawan.
Pour si rentre, 9 heures de bangka sans nourriture ni eau, en plein cagnard, sont necessaires. Cela prend donc la journee, mais si vous ne craignez ni le soleil, ni la chaleur, vous pouvez vous mettre sur le toit et admirer le paysage tout en respirant l'air marin. Tres sympa.
Qui retrouve-t-on sur la bangka en aprtance pour El Nido ? Le Bongo en personne. Il ne nous lache plus.
Mais la rencontre la plus marquante de ce voyage fut sans doute la version philippine d'Antoine.

ATOOOOOOOOLL Les opticiens !!!!!


Nous voila donc en route pour El Nido, et j'arreterai la mon billet, pour laisser la deuxieme partie du recit filipino pour plus tard. Prenez soin de vous, et merci pour vos comments.

Peace, Love, Xiao Long Bao.



8 commentaires:

  1. J aime j aime j aime pour cette premiere partie ! Je galere pour t appeler (de mon tel ou de Skype) mais je peux au moins consulter ton blog ;-) Et j atteste que ce qui ecrit est vrai hehe.

    Je t embrasse !
    Maly

    PS: c est toi le Xiao Long Bao

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  2. en ce qui me concerne,pas besoin de me rappeler à l'ordre pour te faire un commentaire ...Dis moi ton Suedois,il n'a pas un grand frère ,aussi beau gosse que lui ,mais un peu moins bavard ?Non je rigole ,c'est juste pour te montrer que je lis bien ta prose ....Mais dis moi ,tu as chanté j'espère au karaoké?Mon Titou ds deux jours c ton anniversaire....Alors afin d'etre la preums à te le souhaiter,je le fais maintenant:bon anniversaire mon Olive,sois heureux,mais prends bien soin de toi.Nous feterons tes 26ans au Cambodge....En attendant,je te fais pleins pleins d'affectueux baisers ;Je t'aime fort mon "gamin"et je pense bcp à toi.Maman

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  3. pas mal "Atoll les opticiens!!!!mmmm......

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  4. Joyeux anniversaire Olivier.J'apprends à rentrer en contact avec toi pour te dire combien je me régale avec ton voyage et tes si belles photos...je t'embrasse ....Nicole

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  5. Agur 0live, this is "marraine" BON ANNIVERSAIRE"mon fillou. On ne s'en lasse pas de te lire-la communauté basque suis avec délectation les aventures du basque foireux mais pas trop,barré aux antipodes. Passe une excellente soirée, bonne continuation Olive. Gros muxus muxus. Anne

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  6. Encore un gros article. Y'en a qui bossent pendant ce temps mec!
    Un bon anniv en passant!

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  7. Hello

    Sinh nhât vui vé
    Nhièu hanh phùc;tình yèu
    Càm on ban dà chia sé khin nghiêm cùa!!!
    Nhò anh Liv
    Tôi hôn t;)

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  8. bien le bonjours à mon aventurier préféré !je me régale vraiment beaucoup à lire tes péripecies ,tu me fais voyager dans des lieux ou je n'aurai jamais pu aller tes photos sont superbes on s'y croirai ...je rigole bien à la façon humoristique que tu as de raconter tes pires galeres continu encore un peu mais reviens nousbien vite je t'embrasse nicole

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